15 juin 2013

Sans sens sûr ;)

Je suis assez d’accord pour dire que toute censure quand on écrit devrait être abolie par je ne sais quel procédé de drogues ou autres, allez saboire, et de dire ce que l’on veut quand on veut le dire si on le veut vraiment, le lecteur nous dira si oui ou non nous avions affaire à le dire, et nous lui répondrons que ce n’est pas de ses affaires d’aller se faire foutre parce que, nous sommes vulgaires, n’est-ce pas ce que j’ai dit, sans censure, parler comme les crudités se tremper dans la sauce, crus, crue, parce que sans censure la faute est permise, l’orthographe tire à gauche et à droite et sous les culottes, pourquoi pas, tout est permis mon cher ami William Drouin, même le droit de citer ton nom, de dire que demain j’irai te tuer et de mentir et de dire que c’est vrai, je ne me censure pas, je revendique, j’embête comme si le désir d’être lu et apprécié n’existait pas et c’est ça, si c’est ça, le but de l’écriture, de dire à soi tout ce qu’on pense à soir tout bas, je pense qu’il y a des écrivains qui, déjà morts, se suicideraient une deuxième fois après avoir entendu ça.

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