Des idées parfois viennent
En tête parfois
Viennent t’entête parfois
En forêt
Le tronc de l’un
Est souvent celui de l’autre
Et se mêle la vitesse
Et les fleurs saccadées
À la ferme
L’herbe de l’un
Se retrouve dans l’autre
Et nul ne commente
Et nul ne se lamente
À la maison
Le frigo est souvent
Le mien
Et nul ne paie
Et nul n’offre
Mais tous prennent
De la faune à moi
Du mouvement à la cécité
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