19 mars 2009

Poème de Sabrina, encore




Les poèmes deviennent lourds
Mais jamais je te pardonnerai
Sa mort c’est ta faute

J’espère que ce sera ton tour
Un jour d’y laisser
Ta peau et ton coat

Bertrand c’était un esprit tourmenté
Tout ce dont on avait pu rêver

On a voulu un poète
Et voilà ce que nous en avons fait
C’est triste mais maintenant

Qu’est-ce qu’on fait?

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