Plus écrivain que mort
25 avril 2008
La mort du lecteur
Mains lâches, l’oeil du lecteur se jouait de ma langue, plissait quelques faux baisers pour éparpiller mes fracas sur les continents inconnus des célèbres brodés et des masques tissés que je perce, par la broche d’un seul mot : je me cite moi-même.
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