25 avril 2008

Deux temps


Au lendemain de Noël, l’été s’allonge de jambes allongées sur les jeux que l’on plonge mon géant fils, soulage-toi le dos gercé des lèvres de l’hiver que je recule au lendemain de l’été, Noël se resserre de mes jambes écourtées d’espaces quotidiens sur les jeux que l’on offre mon fils géant, soulage-moi le ventre brûlé d’un feu d’été que j’éteins...

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